On l’a bien vu pendant cette parenthèse improbable à la longue traîne qui s’éternise, la juste et parfaite communication est un exercice difficile tout autant qu’essentiel.
En utilisant aussi régulièrement que nécessaire la Newsletter électronique, la FNPS s’est attachée à vous informer au plus près de vos nombreuses préoccupations tant sanitaires qu’économiques ou sociales. Vous êtes nombreux à avoir jugé le service efficace, et le taux d’ouverture, déjà élevé, a bondi.
Cependant, les outils de communication de la FNPS ont été conçus pour la plupart il y a une dizaine d’années. Il était temps de les moderniser à commencer par le site Internet www.fnps.fr dont la nouvelle mouture a été mise en ligne mi-juillet. Vitrine à destination des interlocuteurs et utilisateurs de la presse spécialisée et professionnelle, ce nouveau media est avant tout à votre service avec un accès facilité aux informations pratiques et aux actualités. Dans le même esprit, les autres vecteurs de communication de la fédération comme la Newsletter hebdomadaire et la Lettre d’Information mensuelle, vont être remis au goût du jour (lire l’article).
Pour les éditeurs de presse, réinvestir régulièrement est également un impératif, notamment sur les supports numériques, avec une récurrence accrue dictée par les innovations incessantes.
C’est fort de ce constat que, dans les années 1990, la FNPS a obtenu la création du premier Fonds stratégique pour le développement de la presse (le Fonds presse et multimédia, en 1997). Aujourd’hui, le ministère de la Culture envisage des évolutions du FSDP en reprenant plusieurs propositions que nous avions formulées pour mieux coller aux besoins des éditeurs au sortir de la crise.
Parmi les propositions retenues figurent une bonification jusqu’à fin 2021 des taux de subventions de 10% (le taux « normal » passe à 50%) ; le rétablissement de l’éligibilité des éditeurs de titres distribués par Presstalis en 2018 ; une meilleure prise en charge de la gestion de projet ; un doublement du subventionnement du renouvellement de matériel informatique ; un taux de 30% au lieu de 20% pour la formation ; ainsi que certaines améliorations procédurales.
Seul regret à ce stade, les réticences à la prise en charge des développements serviciels en lien direct avec l’objet du SPEL et les contenus rédactionnels qui y sont publiés. Cependant, n’ayez aucun doute, nous poursuivons notre travail de conviction (lire l’article).